Un support intéressant pour les ateliers philo, avec diverses interprétations proposées
La vérité se cache sous le voile des fables et des paraboles, il faut un esprit très droit et très pénétrant pour la découvrir, comme il faut un oeil bien exercé pour reconnaître le diamant sous l'enveloppe qui le protège1.
I) Introduction
Le Fil de Pénélope, tel est le titre d'un ouvrage surprenant publié pour la première fois en 1996 sans grand bruit, mais réédité par les Éditions Beya en 20092. Son auteur, le philosophe belge Emmanuel d'Hooghvorst, y commente non seulement sept passages célèbres de l'Odyssée, mais aussi des contes d'enfants, l'Énéide de Virgile, des textes de la cabale juive, etc.
Ce qui est nouveau dans cette démarche, c'est l'audace de reprendre le fil d'un courant traditionnel mais tari de nos jours. En effet, contrairement à la mode actuelle qui consiste à forcer l'analyse de ces textes en tentant vainement de les détricoter (ce qui les éloigne l'un de l'autre et suscite une concurrence infinie non seulement entre leurs auteurs, mais aussi entre les différents commentateurs), le postulat est ici, à l'inverse, d'y contempler et d'en démontrer le fil conducteur attesté par une expérience sensible.
Ceux qui liront ce livre seront donc d'abord étonnés, voire ébranlés dans leurs préjugés modernistes. Mais quoi qu'il en soit, il leur faudra reconnaître qu'on ne pouvait mieux choisir le thème et le titre de l'entreprise : telle est bien l'activité nocturne et secrète de la célèbre Pénélope homérique. C'est elle, et elle seule qui résout l'énigme du texte. On ne la violente pas !
Rappelons en effet qu'un texte est étymologiquement un tissu, du latin texere, tisser. Deux choses y sont requises : la trame et la chaîne. Si cette dernière est stable, consistant en une longueur indéfinie tendue entre deux rouleaux, la première consiste dans le va-et-vient du fil par la navette dans une largeur définie, introduisant le dessin et la couleur, sans compter la qualité : soie, coton, laine, etc. L'intrication de la trame et de la chaîne ourdit et scelle l'union entre la droite et la gauche, le haut et le bas, mais, telle la croix de Lothaire, le tissu (et donc le texte) a aussi un endroit et un envers. Question de profondeur ! Cette répartition entre sens dextre et sinistre de toute écriture inspirée était bien connue des Anciens. Qu'il suffise de rappeler, par exemple, le fameux Y des Pythagoriciens signifiant le double sens de la lettre : la large voie de gauche où la foule se perd, et celle de droite, effilée, où l'élu se sauve.
La mythologie passionne les étudiants de tous âges, cela ne fait pas l'ombre d'un doute ; les professeurs le savent, qui y puisent souvent des ressources innombrables pour exciter l'intérêt de leurs jeunes ouailles. D'où vient cette passion ? Si le premier sens de ces récits est souvent captivant, il n'est pourtant jamais le seul que l'on puisse y lire. L'intérêt des élèves serait-il dû à cette pluralité des sens ? Et si la mythologie nous contait notre propre mystère ?
II) L'histoire
Au deuxième chant de l'Odyssée3 nous est exposé ce beau mythe de PENELOPE et de son FIL.
"Sur cette immense toile, elle passait les jours,
La nuit elle venait aux
torches les défaire"4.
Rappelons les grandes lignes de l'affaire : tandis que le héros Ulysse, parti quelque vingt ans auparavant combattre les Troyens, est retenu prisonnier sur l'île de la nymphe Calypso, son épouse Pénélope languit à Ithaque, en proie aux avances incessantes de nombreux prétendants. Ceux-ci, non contents de festoyer jour et nuit dans le palais d'Ulysse et de dévorer son bien en festins, pressent Pénélope d'épouser l'un d'entre eux.
John William Waterhouse, Pénélope et les prétendants, huile sur toile, 1912"
Celle-ci, pour retarder ce moment funeste, a imaginé une ruse subtile : elle a promis de céder à leurs pressions dès qu'elle aurait terminé de tisser le linceul de Laërte, père d'Ulysse. Or, alors qu'elle tissait le jour, elle défaisait son travail la nuit, en secret.
Le dénouement de l'histoire est bien connu : Ulysse, finalement libéré par Calypso et après un voyage long et riche d'aventures, rentre dans sa ville sous l'aspect d'un mendiant, et massacre tous les prétendants de ses flèches.
Depuis presque trois millénaires, cette fable fascine les générations d'hellénistes studieux et de lecteurs curieux. Cependant, si de nos jours, l' Odyssée (quand elle est encore lue !) n'est souvent perçue que comme une "belle histoire", comme un chef d'oeuvre littéraire inégalable, il faut savoir qu'il n'en fut pas toujours ainsi.
Emmanuel d'Hooghvorst résume admirablement la question :
"La profondeur inquiète et dérange les esprits superficiels et médiocres. Le rationalisme les rassure. La simple beauté littéraire d'autre part n'est qu'un reflet dans l'écorce : s'en contente qui veut."5.
Il avait déjà dit auparavant :
"Ignore-t-on [...] que l' Iliade et l' Odyssée étaient la Bible des Grecs ?6. Le code de leur savoir et de leur vérité ? Cette Bible ne contenait-elle que des histoires sans fondement ? À qui le ferait-on croire ? Ces poèmes auraient-ils traversé des millénaires pour venir nous raconter des histoires enfantines ? Contemporain de ces Égyptiens hiératiques dont toute la civilisation était tendue vers le mystère de la régénération, cent ans après Hiram et Salomon, l'auteur de l'Odyssée n'avait à dire que des futilités ?"7.
Et de fait : depuis l'Antiquité, cette histoire - de même que chaque mot et chaque détail des mythes que racontent les poèmes homériques - fut l'objet de nombreux commentaires et de diverses interprétations. Nous en relaterons ici quelques-unes qui nous ont paru intéressantes.
II) Les interprétations
A) Citons d'abord l'interprétation du grand Eustathe, archevêque de Thessalonique au XIIe siècle de notre ère. Cet érudit incontournable a écrit des milliers de pages en commentant tout Homère vers par vers, et en reprenant tout ce qui s'était déjà dit depuis des siècles sur la question :
"L'interprétation, plus subtile, identifie Pénélope [...] à la philosophie, et la trame qu'elle tisse à l'accumulation successive des prémisses que proposent les philosophes. De ces prémisses se tissent et naissent des combinaisons entrelacées de syllogismes. Par le déliement (ἀνάλυσις) de cette trame, qui se fait "sous contrainte", on sous-entend la solution des syllogismes qui s'entrelacent nécessairement, solution que les philosophes appellent ἀνάλυσις. Cette solution, les prétendants de Pénélope ne l'entendent pas, parce qu'ils sont luxurieux et épais, voire incapables de trouver d'eux-mêmes quelque subtilité que ce soit. Cette oeuvre, en effet, est véritablement divine. C'est pourquoi Pénélope dira quelque part dans la suite qu'un Dieu lui a inspiré l'affaire de cette trame8. [...] Cette femme, qui s'épuise dans la pratique de ce tissage philosophique et qui aime y consacrer ses efforts, pourrait représenter la méthode syllogistique qui mène à la solution. Cependant, ceux qui sont dépourvus de méthode et qui n'ont que faire de ce tissage, font rapidement cesser l'oeuvre philosophique. [...] En ce moment même, ô lecteur, tu ignores si nous avons bien interprété le récit de la trame, car tu te trouves encore devant la porte d'entrée. Mais quand tu auras été inscrit, toi aussi, sur la liste des prétendants de la Pénélope philosophique, tu feras grand cas de cette trame. Pénélope, c'est-à-dire la philosophie, allumera pour toi, discrètement et secrètement, les "torches" de la gnose (γνῶσις) et te fera entrevoir la solution (ἀνάλυσις) de cette trame. Alors, tu reconnaîtras que cette interprétation que nous avons tissée en sa compagnie, est la bonne."9
Un peu plus haut, Eustathe avait expliqué que le nom de Pénélope, en grec Πηνελόπεια, viendrait de πένεσθαι et λόπος, parce qu'elle "peine pour son tissu" ; ou encore de πηνίον ἑλε ῖν, parce qu'elle "saisit la trame"10.
B) Le commentaire de Christophe Contoléon, récemment redécouvert et traduit par Hans van Kasteel dans ses Questions homériques, nous a lui aussi semblé digne du plus grand intérêt. Près de trois siècles après son compatriote Eustathe, voici ce qu'il dit d'Ulysse et de Pénélope :
"[...] celui qui s'est habitué à guerroyer et à vaincre l'effroi, celui-là est capable de vaincre aussi ce qui trouble davantage le raisonnement et de regagner Pénélope, c'est-à-dire la béatitude surnaturelle. Pénélope (Πηνελόπη) représente celle qui a pris (λαβοῦσα) les fils (πήνας) des destins, c'est-à-dire la trame conforme à la nature et à l'ordre qu'elle a filé, et qui ne veut pas s'y soumettre, car elle est supérieure à la nature ; c'est pourquoi le poète représente par elle les activités surnaturelles."11
C) Emmanuel d'Hooghvorst, lui, se contente de dire :
"C'est l'épouse fidèle attendant au manoir, celle-qui-voit-la-trame; tel nom convient bien à cette tisserande à rebours. Elle est assaillie des assiduités des prétendants, ces chimistes sans généalogie, installés dans la maison dont ils dissipent les richesses en banquets perpétuels ; ces chimistes vulgaires pillent la maison de Nature, dans leur avidité aveugle. Pénélope à ces rustres ne se prête, et de son art exquis n'hérite qu'un mari.
Ne pouvant se débarrasser de ces importuns, elle trompe leur attente : "Je prendrai mari, leur dit-elle, lorsque j'en aurai fini de tisser le linceul du vieux Laërte mon beau-père". Laërte, dont le nom signifie "l'assembleur des peuples", est bien cet Art ancien, perdu et oublié.
[...] La tisserande donne ici la clef de son art : "La nuit, dit-elle, je défais ce travail du jour". Que désigne le jour ? Le temps dévorant toute sève et tarissant la vie. En nocturne chymie12 de Pénélope se découd le linceul fatal de l'Art enseveli, réanimant alors son soleil, et voilà l'attente d'un doux mari revenu en paix."13
D) Une autre explication, qui semble un peu différente des précédentes, est celle de Dom A.-J. Pernety, bénédictin médecin et alchimiste du XVIIIe siècle, dans son Dictionnaire mytho-hermétique :
"L'histoire de Pénélope est le portrait des opérations des mauvais Artistes, qui ne suivent pas la véritable voie qui conduit à la perfection de l'oeuvre, et qui détruisent le soir les opérations du matin. Ulysse est le modèle des bons artistes, qui détruisent à leur arrivée les opérations et les procédés mal concertés des mauvais Artistes. L'Odyssée d'Homère est l'exposé des erreurs où ils tombent à chaque pas qu'ils font ; et l'Iliade [...] est la description de la conduite qu'il faut tenir comme Ulysse, pour parvenir au but que se propose un véritable Philosophe."14
Ainsi donc, depuis toujours, la toile de Pénélope concerne bien le texte même, et qui plus est, le texte de la philosophie. On s'est habitué, à tort, à définir cette dernière comme étant "l'amour de la sagesse". Mais dans ce cas, on dirait plutôt : "sophophilie", selon l'usage le plus courant de placer d'abord le génitif. La philosophie est en réalité une expérimentation manuelle (radical SOPH) de l'art des philtres, c'est-à-dire la connaissance d'un sel qui est un lien d'amour universel. Dès qu'on l'a goûté, on devient sage (du latin sapere, goûter)15.
III) Interprétations modernes
Comparons maintenant ces commentaires hermétiques, c'est-à-dire de la tradition fondamentale d'Hermès16, avec ce que nous offre notre époque, où l'on voit apparaître diverses tentatives d'interprétation, dans des domaines aussi variés et inattendus que la psychanalyse ou la politique17.
A) Voici un extrait, tiré d'un article de la professeur et psychanalyste argentine Sabsay Foks Gilda :
"Comment vois-je le mythe homérique de l' Odyssée ? Il ne s'agit pas de la même problématique que dans le mythe d'OEdipe. [...] Dans le mythe de L'Odyssée, nous voyons la guérison. Le désir du fils de retrouver son père, Télémaque à la recherche d'Ulysse, est l'équivalent du patient se présentant chez le psychanalyste. Tout le parcours fantasmatique, douloureux, parfois insupportable, parfois excitant de la cure représente une plongée dans les contenus de l'inconscient. Ce processus est soutenu par le désir mutuel d'une rencontre - sous réserve de ne pas confondre la place ni la position de l'analyste avec la personne de l'analyste.
Télémaque est le fils d'Ulysse et de Pénélope, il n'est ni l'ami, ni le fiancé, ni le mari de Pénélope. Pourtant, en l'absence de son père, il doit en même temps trouver sa place auprès des femmes, avec qui il vit, et lutter contre les prétendants de sa mère que d'un autre côté il n'est pas sans désirer. Seul le retour d'Ulysse peut remettre chacun à sa place. Ulysse, que je compare au psychanalyste, représente le père recherché, accepté et reconnu après les réajustements, le changement de signification du père contre qui on a lutté. Ce processus survient surtout lors de la jeunesse, et c'est ce qui se passe avec Télémaque au retour d'Ulysse. Télémaque sortant de l'adolescence reprend sa place de fils, Pénélope celle de mère et épouse, et Ulysse son rôle de père et mari."18
B) Nous ne pouvons nous empêcher de constater ici la perte flagrante du fil conducteur de Pénélope. Certes, affirmer cela suscitera bien des oppositions, car rejoindre notre position et l'adopter entraîne de facto l'abandon de toute une littérature bien installée mais devenue aussi évanescente que ne le sont devenus les prétendants de Pénélope après le retour d'Ulysse. Mais cela aussi, Emmanuel d'Hooghvorst l'avait prévu :
"Notre façon de lire ces contes ne sera pas admise facilement, nous nous en doutons bien, mais n'est-ce pas le sort de toute hypothèse nouvelle ? Elle heurte d'abord les idées reçues, bouscule les préjugés et trouble les esprits, mais si l'hypothèse est juste, elle finira par s'imposer à l'esprit des curieux."19
Conclusion
Alors voilà : ou bien Homère, qui n'est plus là pour se défendre, a pensé et parlé d'une manière suffisamment confuse pour que chacun puisse le commenter à sa guise et selon sa fantaisie, ou bien il a expérimenté la science par excellence, celle qu'on ne peut que re-voiler, c'est-à-dire ré-véler, au sens précis du terme. Ces deux hypothèses se combattent actuellement, puisque Le Fil de Pénélope d'Emmanuel d'Hooghvorst apparaît sur la scène, non en nombre, mais en force.
Les prétendants (à la philosophie, comme nous l'avons dit) peuvent, évidemment, compter sur leur nombre, ignorer sa présence, et refuser de le lire ou même d'y jeter un regard. Leur calcul cependant leur sera fatal, comme ces rustres, qui ne percevant pas l'arrivée de Pallas, continuent à jouer aux jetons, et passent, pour leur plus grand malheur, à côté de la réalité sans la voir20.
Quoi qu'il en soit, au dire d'Eustathe, le mot : "ἄειδε (chante)", qui est le deuxième mot de l'Iliade ("chante, déesse, la colère d'Achille...") provient d'un alpha prosthétique et de εἴδω (connaître), car les poètes-aèdes étaient censés tout savoir et connaître21.
Cette science infuse se transmet de bouche à oreille, le disciple qui en est enceint devenant finalement comme le maître. Ce disciple initié combat en vue d'un but lointain, ce qui est, bien évidemment, la signification du nom de Télémaque, fils d'Ulysse l'irrité et de la tisserande Pénélope.
En notre temps où les études gréco-latines disparaissent de cet Occident qui a tant brillé sur le monde, Le Fil de Pénélope d'Emmanuel d'Hooghvorst mérite tout au moins d'être testé, pesé et critiqué. Si la trame était réellement retrouvée, quel bonheur ce serait pour les étudiants auxquels on a trop souvent l'habitude de fournir, pour leur nourriture, de la paille sans grain !
Que tous les professeurs s'attellent donc à sa lecture et ne ménagent ni les réflexions ni les examens de la chose ! Si un seul parmi eux, inspiré par la Nuit, nourrice universelle, trouvait la SOLUTION de l'énigme, tout refleurirait, l'Âge d'Or serait bien proche, et seraient abandonnés tous les travaux inutiles de l'âge de fer.
À quand le retour d'Ulysse aux mille tropes cachant tout le secret de l'homme ?
Les ignorants séparent brutalement ce que le sage dénoue avec patience22.
(1) "Le Message Retrouvé", III, 17, dans Louis Cattiaux, Art et hermétisme
[uvres complètes], Beya, Grez-Doiceau, 2005, p. 55.
(2) Emmanuel d'Hooghvorst, Le Fil de Pénélope, tome I, Beya,
Grez-Doiceau, 2009.
(3) Odyssée, chant II, vers 93 à 110.
(4) Ibid., II, 104 et 105.
(5) Emmanuel d'Hooghvorst, op. cit., p. 33.
(6) L'expression est de Clément d'Alexandrie.
(7) Emmanuel d'Hooghvorst, op. cit., p. 11.
(8) Odyssée, XIX, 138.
(9) Eustathe de Thessalonique, Commentaires sur l'Odyssée,
cités dans van Kasteel, Hans, Questions Homériques, Physique et
métaphysique chez Homère, Grez-Doiceau, Beya, 2012, pp.
602-603.
(10) Id., p. 599.
(11) Contoléon, Christophe, "Sur le prologue de l'Odyssée" dans van Kasteel,
Hans, op.cit., p. 764.
(12) Ici l'auteur écrit le mot chymie avec son ancienne graphie. Cette alchymie, en
effet, comporte le sens ambigu de la lettre Y, par opposition à la chimie
vulgaire.
(13) Emmanuel d'Hooghvorst, op. cit., p. 7.
(14) A.-J. Pernety, Dictionnaire mytho-hermétique (1758),Milano,
Archè, 1980, pp. 371-372.
(15) On trouvera tout cela dans un curieux traité anonyme (on sait maintenant, en
réalité, que l'auteur en serait un certain Bebescourt) paru en français à Londres un
peu avant la révolution française : Les Mystères du Christianisme
approfondis radicalement et reconnus physiquement vrais (sans nom
d'éditeur), Londres 1775, pp. 48 et suiv.
(16) Herma signifie fondement...
(17) Cf.par exemple "J'ai l'intention de voter pour François
Hollande", interview de Martin Hirsch par le journal Le Monde
(16 avril 2012), où l'ancien Haut-commissaire au sein du gouvernement
Fillon met en garde contre le "détricotage" du RSA, créé par ce même
gouvernement.
(18) Gilda, Sabsay Foks, "Ulysse et Télémaque, une histoire psychanalytique", dans
Che vuoi ?,2007/1 (N° 27), pp. 79-86.
(19) Emmanuel d'Hooghvorst, op. cit., p. 189.
(20) Cf. Odyssée, I, 96 et ss.
(21) EUSTATHII Arch. Tessal. Commentarii ad Homeri Iliadem...
tome I, Lugduni Batavorum, Brill, 1971, p. 15.
(22) "Le Message Retrouvé", XX, 63', dans Louis Cattiaux, Art et hermétisme
[uvres complètes], Beya, Grez-Doiceau, 2005, p. 238.